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Mon truc à moi c'était ça. Ca peut vous paraître déviant, con immonde, mais et alors ?
Je suis un fils de bonne famille, sans histoire, sans vices apparents. Et je me tape beaucoup de filles. Sûrement pour mon argent, oui, je ne suis pas bien beau, alors pour quoi d'autre ?
Je sors souvent accompagné de mes amis (qui ne savent rien, bien entendu) en boîte, des des bars. Mais peu importe.
Ce soir-là, je trainais dans les basfonds de la ville. Il faisait froid, le temps était venteux.
J'étais à la recherche d'une héroïnomane quelconque.
Dans une toute petite ruelle, je trouvais mon bonheur. Elle était là, affalée sur un vieux sofa déglingué et poussiéreux, entourée par des dizaines d'aiguilles et de quelques autres junkies.
Elle avait le teint d'un blanc laiteux, la peau sur les os, plutôt mignonne malgré sa maigreur apparente.
- "Dis-moi ma jolie, du fric, ça t'intéresse ?"
- "Je suppose que tu vas pas m'le donner gratis."
Pas besoin de réponse. Je la prends par la main et l'entraine vers un hôtel chic.
Je n'aime pas baiser n'importe où, luxe et confort doivent être de mise.
On arrive enfin. L'homme à l'accueil prend un air mi étonné mi dégoûté - qu'il refoule bien vite - devant le couple que nous formons.
- "Une chambre, la meilleure."
- "Bien sûr monsieur."
Il me tend la clé, je paye et nous montons, la fille et moi.
La chambre est somptueuse, la droguée ouvre grand les yeux, écarquillés par tant de splendeur.
- "Deshabille-toi et allonge-toi."
Pas besoin de préliminaire, je ne suis pas là pour la faire jouir tout de même.
Elle se déssape sans hésiter et sauter sur le lit, ses petits seins tréssautent. Délicieux.
Le problème, voyez-vous - qui n'est pas un problème pour moi - c'est qu'avec ces junkies-là, on est certain d'attraper, à un moment donné ou à un autre, une maladie vénérienne.
Je dois être un parfait petit salaud en mal d'aventure, mais j'aime sauter des nanas malades.
Peu importe la maladie, quoique j'ai une forte préférence pour les MST. Je couche avec ces filles sans caopte, bien évidemment, sinon, où est le risque ?
Mais revenons à nos moutons.
Elle avait sauté sur le lit avec l'énergie que seul un drogué en manque peut avoir.
Je la regardais longuement en me deshabillant à mon tour. Je m'assis sur le lit, elle prit mon sexe dans sa bouche.
Une fois ma virilité raidie, je la besognais.