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Mardi 16 février 2010 à 16:21

Le rat

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La borg s'avance doucement, telle une chatte, couteau à la main. La ville est en ruine, dévastée par la 4ème grande guerre. Des feux dans de gros barils brûlent un peu partout ; les gens, mutants et autres tentent de se réchauffer. On voit sur la gauche, dans une ancienne grande artère, un type à qui il manque un bras qui se fait cuire son rat.
La belle cyborg avance donc, le visage à moitié recouvert d'une carapace d'acier, s'harmonisant à merveille avec sa peau d'un blanc de lait. Elle se dirige droit sur le bonhomme à qui il manque ce foutu bras, l'égorge et mange le rat.

Nous sommes réduits à des moins que rien.

Mardi 16 février 2010 à 16:07

Crack, cadavre et autres conneries.

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C'était l'heure d'aller chercher la came, une grosse fête se préparait.
Les trois garçons prirent leur voiture et se rendirent au point de rendez-vous, une vieille maison abandonnée transformée en squatt.
Pour y acceder, il fallait emprunter des routes sinueuses.
Il faisait nuit noire, le vent sifflait dans les arbres maigrelets plantés de chaque côté de la route. Route qui se transforma bientôt en un petit chemin de terre que chahutait fortement la vieille caisse branlante.
Enfin ils arrivèrent. La maison était en ruine, porte et fenêtres défoncées.
- "Putain, regarde-moi c't'endroit, on dirait qu'un film d'horreur se prépare."
- "Quoi, tu flippes minette ?"
- "Moins qu'toi, ça c'est sûr."
- "Bah rentre alors."
Ils s'avancèrent vers la maison, lampes torches envmain.
- "T'es sûr qu'c'est là ?"
- "Ouais."
Il entrèrent doucement, presque à reculon, allumèrent les torches et grimpèrent un escalier tout aussi branlant que leur voiture.
Un corridor sombre, trois portes, dont l'une semblait renfermer un fort éclairage.
Il poussèrent ma porte.
Un petit sac posé sur une table, un cadavre de femme à moité recouvert d'un drap. Les cheveux noirs, les yeux grands ouverts, d'un vert d'eau.
Le cadavre se mit à parler :
- "Prennez votre crack et barrez-vous."

Samedi 13 février 2010 à 16:03

Les différences sociales m'excitent

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Elle était de basse extraction, une fleuriste quelconque. J'étais moi-même de la noblesse.
Un monde nous séparait et pourtant nous nous entendions très bien... sexuellement.
J'étais habitué aux demoiselles éduquées, de sang bleu, ou au moins de la haute bourgeoisie.
Le fait que le monde nous sépare était finalement une nouveauté exotique.

Samedi 13 février 2010 à 13:25

La faiblesse non esthétique est à éradiquer

Vendredi 1er janvier 2010 à 20:25

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Mon truc à moi c'était ça. Ca peut vous paraître déviant, con immonde, mais et alors ?
Je suis un fils de bonne famille, sans histoire, sans vices apparents. Et je me tape beaucoup de filles. Sûrement pour mon argent, oui, je ne suis pas bien beau, alors pour quoi d'autre ?
Je sors souvent accompagné de mes amis (qui ne savent rien, bien entendu) en boîte, des des bars. Mais peu importe.
Ce soir-là, je trainais dans les basfonds de la ville. Il faisait froid, le temps était venteux.
J'étais à la recherche d'une héroïnomane quelconque.
Dans une toute petite ruelle, je trouvais mon bonheur. Elle était là, affalée sur un vieux sofa déglingué et poussiéreux, entourée par des dizaines d'aiguilles et de quelques autres junkies.
Elle avait le teint d'un blanc laiteux, la peau sur les os, plutôt mignonne malgré sa maigreur apparente.
- "Dis-moi ma jolie, du fric, ça t'intéresse ?"
- "Je suppose que tu vas pas m'le donner gratis."
Pas besoin de réponse. Je la prends par la main et l'entraine vers un hôtel chic.
Je n'aime pas baiser n'importe où, luxe et confort doivent être de mise.
On arrive enfin. L'homme à l'accueil prend un air mi étonné mi dégoûté - qu'il refoule bien vite - devant le couple que nous formons.
- "Une chambre, la meilleure."
- "Bien sûr monsieur."
Il me tend la clé, je paye et nous montons, la fille et moi.
La chambre est somptueuse, la droguée ouvre grand les yeux, écarquillés par tant de splendeur.
- "Deshabille-toi et allonge-toi."
Pas besoin de préliminaire, je ne suis pas là pour la faire jouir tout de même.
Elle se déssape sans hésiter et sauter sur le lit, ses petits seins tréssautent. Délicieux.
Le problème, voyez-vous - qui n'est pas un problème pour moi - c'est qu'avec ces junkies-là, on est certain d'attraper, à un moment donné ou à un autre, une maladie vénérienne.
Je dois être un parfait petit salaud en mal d'aventure, mais j'aime sauter des nanas malades.
Peu importe la maladie, quoique j'ai une forte préférence pour les MST. Je couche avec ces filles sans caopte, bien évidemment, sinon, où est le risque ?
Mais revenons à nos moutons.
Elle avait sauté sur le lit avec l'énergie que seul un drogué en manque peut avoir.
Je la regardais longuement en me deshabillant à mon tour. Je m'assis sur le lit, elle prit mon sexe dans sa bouche.
Une fois ma virilité raidie, je la besognais.

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