Crack, cadavre et autres conneries.
C'était l'heure d'aller chercher la came, une grosse fête se préparait.
Les trois garçons prirent leur voiture et se rendirent au point de rendez-vous, une vieille maison abandonnée transformée en squatt.
Pour y acceder, il fallait emprunter des routes sinueuses.
Il faisait nuit noire, le vent sifflait dans les arbres maigrelets plantés de chaque côté de la route. Route qui se transforma bientôt en un petit chemin de terre que chahutait fortement la vieille caisse branlante.
Enfin ils arrivèrent. La maison était en ruine, porte et fenêtres défoncées.
- "Putain, regarde-moi c't'endroit, on dirait qu'un film d'horreur se prépare."
- "Quoi, tu flippes minette ?"
- "Moins qu'toi, ça c'est sûr."
- "Bah rentre alors."
Ils s'avancèrent vers la maison, lampes torches envmain.
- "T'es sûr qu'c'est là ?"
- "Ouais."
Il entrèrent doucement, presque à reculon, allumèrent les torches et grimpèrent un escalier tout aussi branlant que leur voiture.
Un corridor sombre, trois portes, dont l'une semblait renfermer un fort éclairage.
Il poussèrent ma porte.
Un petit sac posé sur une table, un cadavre de femme à moité recouvert d'un drap. Les cheveux noirs, les yeux grands ouverts, d'un vert d'eau.
Le cadavre se mit à parler :
- "Prennez votre crack et barrez-vous."
Les trois garçons prirent leur voiture et se rendirent au point de rendez-vous, une vieille maison abandonnée transformée en squatt.
Pour y acceder, il fallait emprunter des routes sinueuses.
Il faisait nuit noire, le vent sifflait dans les arbres maigrelets plantés de chaque côté de la route. Route qui se transforma bientôt en un petit chemin de terre que chahutait fortement la vieille caisse branlante.
Enfin ils arrivèrent. La maison était en ruine, porte et fenêtres défoncées.
- "Putain, regarde-moi c't'endroit, on dirait qu'un film d'horreur se prépare."
- "Quoi, tu flippes minette ?"
- "Moins qu'toi, ça c'est sûr."
- "Bah rentre alors."
Ils s'avancèrent vers la maison, lampes torches envmain.
- "T'es sûr qu'c'est là ?"
- "Ouais."
Il entrèrent doucement, presque à reculon, allumèrent les torches et grimpèrent un escalier tout aussi branlant que leur voiture.
Un corridor sombre, trois portes, dont l'une semblait renfermer un fort éclairage.
Il poussèrent ma porte.
Un petit sac posé sur une table, un cadavre de femme à moité recouvert d'un drap. Les cheveux noirs, les yeux grands ouverts, d'un vert d'eau.
Le cadavre se mit à parler :
- "Prennez votre crack et barrez-vous."